martes, 3 de abril de 2012

PHOTOS DE L' EXPOSITION "PIED DE CACTUS"

PHOTOS DE L'EXPOSITION  DE COLLAGES "PIED DE CACTUS" DE JORGE RODRÍGUEZ DE RIVERA AU MUSÉE  INTERNATIONAL DE LA CHAUSSURE DE ROMANS:
FOTOS DE LA EXPOSICIÓN DE COLLAGES"PIED DE CACTUS" DE JORGE RODRÍGUEZ DE RIVERA EN EL MUSEO INTERNACIONAL DEL CALZADO DE ROMANS:


L'entrée avec une grille comme dans les couvents de l'époque, à droite le petit oratoire de cactus.

La entrada con una reja como en los conventos de la época, a la derecha el pequeño oratorio de cactus.




Deux grands collages sur Dalí ornent le mur de gauche, un consacré au musée Dalí de Figueras et l'autre au château de "Púbol la Pera" que Dalí avait acheté à Gala pour se reposer.

Dos collages grandes sobre Dalí adornan el muro de la izquierda, uno consagrado al museo Dalí de Figueras y el otro al castillo de "Púbol la Pera" que Dalí compró a Gala para que descansara.







 Vue Générale du lieu, au milieu Jean Luc Chapoulier et Christian Cotini ont construit une structure en bois qui détermine l'espace du jardin et incorpore l'equipement éléctrique.

Vista general del lugar, en medio Jean Luc Chapoulier y Christian Cotini construyeron una estructura de madera que determina el espacio del jardín e incorpora el equipo eléctrico.











Le service de communication de  la ville de Romans a édité pour l'occasion un coffret de 10 cartes postales dans lequel j'ai écrit un texte de présentation de mon oeuvre pour cette exposition:

El servicio de comunicación de la ciudad de Romans editó para la ocasión una vcajita con 10 tarjetas postales en la que escribí un texto de presentación de mi obra para esta exposición: ( ver la traducción al final de la página)

Texte du coffret: PIED DE CATUS:

À l’origine de ce projet se trouvent differents voyages à Romans et bien sur la visite du Musée de la Chaussure dans le cadre impressionnant de ce grand bâtiment conventuel.
D’une salle à l’autre, l’appareil à la main, et cherchant la meilleure lumière dans les escaliers et les cours, la présence de cette armée de petites sculptures de cuir , de métal ou de tissu me semblait de plus en plus étrange .
Chacune racontait une histoire, celle de sa fabrication et celle de sa vie urbaine, montagnarde, agricole, de tous les pays du monde et dans ces voyages ne manquaient que les voyageurs.
Le concept de rendre suivant mon habitude les personnages de fantaisie à des lieux s’installait aussi dans des chaussures qui chacunes ou groupées devenaient le petit théâtre d’aventures extraordinnaires, de choses qui se passent la nuit ou les jours de fermeture.
Chaque soulier rencontrait son propriètaire preféré et sa vie de folie au delà de toute logique et dans ce monde surréaliste je rajoutais le cactus, elle aussi plante surréaliste poussant de milliers de formes inattendues dans les endroits les plus improbables.
Le cactus qui pique se trouvait des coins de repos et de délice au creux des bottines et des escarpins, le clin d’oeil érotique devenait confortable et les petites souffrances des moments secrets.
De mon pays des Canaries, un jardin central de cactus est le lieu de toutes les rencontres pour ces chaussures qui marchent la nuit à la recherche d’aventures.







Entrée au musée , et entrée à l'exposition bien annoncées.

Entrada al museo, entrada a la exposición bien anunciadas.






 Differents points de vues de l'exposition avec le jardin au milieu.

Diferentes puntos de vista de la exposición con el jardín en medio.




Tout les collages qui sont dans la structure centrale sont consacrés au Musée de la Chaussure et aux chaussures en général.


Todos los collages que están en la estructura central están consagrados al museo del calzado y a los zapatos en general.




 On aperçoit déjà quelques animaux empaillés dans le jardin , mais je vous en parlerai plus tard.

Ya se perciben algunos animales disecados en el jardín.



Au fond de la salle on a installé un écran vidéo qui explique tout le parcours de la création d'un des collages qui se trouve à l'exposition,  depuis le moment où j'ai commencé à faire des photos du musée vide jusqu'à la signature finale de l'oeuvre. La vidéo dure 17 minutes.


Al fondo de la sala instalamos una pantalla de video que explica todo el recorrido de la creación de uno de los collages que se encuentran en la exposición, desde el momento donde empecé a hacer fotos del museo vacio hasta la firma de la obra final. el vídeo dura 17 minutos.



On joue à cache-cache dans l'exposition.

Jugando al escondite en la exposición.




 Positionement de la vitrine oratoire de cactus par rapport à la salle,  à côté  des oeuvres sur Dalí.

Posición de la vitrina del oratorio del cactus referente a la sala, al lado las dos obras de Dalí.

Au fond on a installé le livre des signatures avec le coffret des cartes postales et à gauche un panneau avec mon C.V. Le long de la grande grille de fer forgé ,séparant l'église du choeur , une grande vitrine plate permet de voir les catalogues , les cartes postales et les illustrations de livres de mes travaux antérieurs.

Al fondo instalamos el libro de las firmas con la cajita de las tarjetas postales y a la izquierda un panel con mi currículo. A lo largo de la reja de hierro forjado, que separa la iglesia del coro, una vitrina plana grande permite ver los catálogos, las tarjetas postales y las ilustraciones de libros de mis trabajos anterires.



Petite vitrine contenant l'oratoire des cactus que j'expliquerai plus tard.

Pequeña vitrina que contiene el oratorio de los cactus que explicaré más tarde.




Une grille qui n'empêchera pas les cactus de s'échapper la nuit tombée dans le musée pour aller rencontrer ces précieux souliers de satin qui dorment dans les réserves.

Una reja que no impedirá a los cactus de escaparse cuando caiga la noche por el museo para encontrarse a esos preciosos zapatos de satén que duermen en las reservas.


TEXTO DE LA CAJITA DE TARJETAS POSTALES: PIED DE CATUS

En el origen de este proyecto, están diferentes viajes a Romans y claro está la visita al museo del calzado con ese entorno impresionante de ese gran edificio conventual. De una sala a la otra, con la máquina de fotos en mano y buscando la mejor luz en las escaleras y los patios, la presencia de esta armada de pequeñas esculturas de cuero, de metal, o de tejido me parecían cada vez más extrañas.
Cada una contaba una historia, la de su fabricación y la de su vida urbana, de montañera, agrícola y de todos los países del mundo, y en sus viajes sólo faltaban los viajeros.

El concepto ,según mi costumbre, de devolver los personajes fantásticos a otros lugares se instalaban también en los zapatos, y cada uno o en grupos se convertía en el pequeño teatro de aventuras extraordinarias, de cosas que pasan por la noche o los días de cierre .

Cada zapato encontraba su propietario preferido y su vida de locura más allá de toda lógica ,en ese mundo surrealista yo introducía los cactus,  planta  también surrealista creciendo con muchas formas diferentes e inesperadas en los lugares más improbables.
Los cactus que pican encontraban sitios de reposo y de delicias en los huecos de los botines y de los escarpines, el guiño erótico se volvía confortable y los pequeños sufrimientos momentos secretos.

En mi país de Canarias, existe un jardín central de cactus que es el lugar de todos los encuentros para esos zapatos que caminan por la noche buscando aventuras.




Vitrine avec les catalogues et d'autres choses de mes anterieures expositions
Vitrina con los catálogos y otras cosas de mis exposiciones anteriores.

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